Sur une eau douce quelques lueurs assidues
S'en accolaient chaque matin
Sous le soleil couvant ailleurs d'autres émues
En les yeux de l'hiver malin.
Dessous les étoiles de tous les moments nouveaux
Que peignaient aux cieux les soirs,
Les rochers suant dans la douleur des assauts
Se nourrissaient de lueurs noires.
La courtoisie du printemps gavait les fleurettes
Les ergots et les soies blanches
De sa saison en brodant de quelques corvettes
Tons et attraits sur leur hanches.
La rigueur de l'été tétait les belles couleurs
Qui restaient moites dans les rangs
Des sensations ne voulant en les pâleurs
Laisser ces fleurs vider leurs tons.
Et le perdant qui ne savait où se refaire
Sans noircir est bien l'errant or
Entre toutes les saisons qui font sur sa terre
Feues et feus souvent sans remord.
À
tatouage_moi@hotmail.fr (Farid khenat)
De :
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Enregistré le : dim. 10/04/11 09:44
À :
tatouage_moi@hotmail.fr mouhoub 2011
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Je ne suis pas un chauffeur de taxi. et je ne suis pas med et non plus Nicolas et mohamed.
Désolé !