pourvu que chaque président se rappelle cette règle de la vie et surtout Kaddafi de La Libye qui est entrain d'exterminer son peuple !
La mort du loup !.
Loin du monde civilisé
Un tout petit loup est né.
Sur une montagne très éloignée
Avec son groupe, il vivait.
Petit Ă petit, il apprenait.
Il commence Ă distinguer
Le facile du dangereux des faits.
Et avec les jours qui passaient
Il parvenait Ă accompagner
Les mâles qui attaquaient
Les troupeaux et les bêtes isolées
Pour nourrir les louves qui restaient
Dans les tanières avec les nouveaux nés.
Durant ces attaques répétées
Le jeune loup se distinguait
Et, par la force, il devenait
Chef de tous les jeunes guerriers.
Une belle louve, il Ă©pousait
Qui, de beaux louveteaux, lui donnait.
Par toute la famille entouré,
Sur le trône, il s’asseyait.
De droit, tous lui obéissaient :
C’est le général qui commandait.
Mais notre loup n’a jamais oublié
La scène du vieux chef détrôné
Après un combat très disputé
De laquelle, perdant, il sortait.
La vie est ainsi faite, il le comprenait
Et quand son heure est arrivée,
Sans être obligé, il abdiquait
Laissant le trône au proposé
Qui, par sa force, s’est distingué
Ainsi que par son courage
Et par sa générosité,
Par sa claire voyance
Et par son amabilité.
Discrètement du groupe,
Il s’était retiré !
Sur une crĂŞte, seul,
Il est resté !
De lui au groupe,
Aucun messager.
De ses nouvelles,
Rien n’est arrivé !
Mais…,
Par une nuit glaciale de Janvier,
De loin, on l’a entendu crier !
On a su, alors, qu’il agonisait !
Le groupe s’était mis à hurler !
Son dernier départ fut salué !
Dans la joie, il était arrivé,
Une belle carrière, il a passé
Et, avec les honneurs, il partait !
Qu’est-ce qu’on peut, de plus, demandait
A la vie qui, très souvent, nous gâtait?
Ça ne sert à rien à chercher
Même à tort, à s’imposer !
05/05/2009
Ahmed.
je dis Ă ces dictateurs: Soyez au moins comme ce loup!