J’étais chasseur de rêves
Amour où sont tes étoiles,
Moi je les voyais dans ton regard
Dans le grand silence de ton corps.

L’amour récite tes désirs
Il en est le maître
Une silhouette se déplace
D’une blancheur extrême.
Sur des vallonnements
Et de toutes les choses qui sont;
Une merveille surnaturelle
qui projette au loin l'ombre
De quelque solstice céleste,
C'est tellement triste, la vie
la vie,dans le cimetière!

Amour, démarrez votre chant!
Tristesse, laissez-moi!
Dans une forêt florissante
Avec vos lèvres vermeilles.
Je prends mon envol
Dans nos enlacements charnels.

Fusionnerons ensemble
Deux colombes amoureuses
Et dans cet espace, interminable
Notre amour sera perpétuel.
Tragique roue du temps!

----------------
bernard 138

Droit d'Auteur .Textes protégés et déposés:Par COPYRIGHT DEPOT.COM numéro 00052261-