Comme un printemps sur mon chemin…
Cherchant de complice en complices,
Sur la toile, pour mes dés, pour m’aider,
Mes idées, mes mots hiver, me motiver,
Internautes ailées, aux tendres auspices…
En allers retours, j’ai demandé
Au vent qui portait mes mots, aux tempêtes,
Menacés, indifférents, sur ma tête,
En brise sévère, en verre brisé…
J’étais sur tout blog, à ma plume,
Un étrange étranger, étrangement
Etranglé, étranglant l’étrange, au sang blanc...
En semblant, Ã la faux, croissant sous les lunes,
À enfouir mes maux... Puis, comme un printemps, Toi,
Trouvée sur mon chemin… Toi, comme un il y a…
Graphène