Levons les yeux vers les étoiles
Sur la voute céleste s’ébattaient les étoiles
Scintillants de milles yeux
Elles faisaient artifices
Souriant aux anges et aux dieux
De la terre ont voyaient
D’étranges animaux dessinés
Tirés par des chariots de feux
Qui traversaient la nuit
Chacun a son étoile fétiche
Nichée tout là haut
Qui de sa lumière
Nous donne en nous sa foi
Les amoureux s’y plaisent
Sous ses tonnelles de vermeil
Déclarant leurs flammes
Tandis que les étoiles les veillent
Mais de là à en attraper une
Reste un doux rêve
Contemplons les encore un peu
Avant que le jour ne s’éveille
Phildor
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De l'ombre à la lumière sur le chemin de la poésie
