Son ton sera plus pâle,
De phrases moins habiles.
Que l'amour d'Hugo,
Dans sa lettre à Virgile.
Pour ne t'en citer qu'un,
Je n'avais que le choix...
Dans ses mots qui me chantent,
Sur un, j'ai mis le doigt.

" Pour toi qui dans les bois frais, comme l'eau des cieux,
Tomber de feuille en feuille un vers mystérieux,
Pour toi dont la pensée emplit ma rêverie,
J'ai trouvé dans une ombre où vit l'herbe fleurie...".

Voulant suivre ses traces,
Dans ces arbres noueux.
Aux saisons des pervenches,
Mes pas sont hasardeux.

Il prononce Meudon,
Traduisant Tivoli.
Quand je pense Marseille,
Toi, là-bas qui guéris.

Ne voulant imiter ,
La danse d'Alphésibées.
Encore moins Lycoris.
Je suis simplicité.

Que Hugo me pardonne,
Mes affabulations.
Ma plume, je ne contrôle,
Pour toi en guérison.

Pour mon ami qui est dans le sud et moi dans l'Est.

Pimprenelle.

superbe....

Ce poème effacera sans doute la distance, par la beauté de ses vers et sa sincérité.

Un plaisir à lire, j'aime ce poème.

merci
cinderell

----------------
La poésie est à la fois une cachette et un haut-parleur...Nadine Gordimer,Afrique du sud 1923

" Pour toi qui dans les bois frais, comme l'eau des cieux,
Tomber de feuille en feuille un vers mystérieux,
Pour toi dont la pensée emplit ma rêverie,
J'ai trouvé dans une ombre où vit l'herbe fleurie...".

Les bois sont les refuges des animaux et l'homme adore s'isoler dans les bois pour se sentir dans sa véritable nature.
De tout temps, la nature dans toute sa splendeur a été chantée. Il faudra la fin de l'humanité pour ne plus entendre les chants d'amour de Dame Nature!
Mes amitiés Said

je ne comprend pas tout,mais en tout cas cela sonne divinement bien

----------------
James