Allo… oui, ne quittez pas
« Allo winer, un peu looser… »
Allo… oui, vous y allez
Alors
J’irai par la porte de la grande ville
De celle qui stimule les monstres
Oui, j’irai
Je suis au feu de l’étrange
Un ange
En transe
À mon visage
À mes frusques
À ma démarche
Dont l’attitude plaquera d’ors
Tous mes pas
Il me faut un temps d’horreur
De terreur, un temps de foin
Un temps de chien
Lors, le badaud me dévisage
Sage, en bourgeois qui ne bouge
Toi, en bourreau
Noir, épave quasi modo du bouge
En bougre
Moi, en Pierrot jolie, Colombine d’ombre et de paillettes
D’ors et de sang
Liés
Bleutée
Sous les lumières de la ville
On nous dévisage, sage, très sage
Trop sage, encore
Et encore…
Rage
Quand au tavernier la question
Où de la cité
Sont donc les déguisements ?
Ha ! Fin octobre, c’était
Ce sera ?
Bon…
Graphène