L’horloge du temps
Ou sont les temps, ou les aiguilles dansaient sur l’horloge
rythmant les heures de gloire et de l’amour.
A l’heure de la jeunesse galopaient sans compter
marquant les nuits blanches et les minuits entre amis
Puis la sagesse advint et la vie y marquait une certaine usité
Travail, enfants et vie imposaient ses heures
L’horloge réglait et reléguait la vie
Qu’elle heure est t- il ? C’est l’heure de
Quand advint la vieillesse, on ne les entendait plus trotter
Parfois le temps paraissait éternel, d’autre fois une simple étincelle vacillante
rythmant le temps comme un cœur qui ne battrait bientôt plus.
L’horloge n’avait que faire de la vie, de la mort, elle vivait dans l’instant
Phildor
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De l'ombre à la lumière sur le chemin de la poésie