J’ai eu beau aimé l’amour aux portes de la mort,
Hors du cercle de feu j’embrase le jeteur de sort,
Sortilège où sacrilège je ne sais ce qui m’allège,
Allégeance où diligence que souffrance s’abrège.

Les fleurs éclosent au sein des seuls cœurs clos,
Clauses au diable à fables sur la braise des flots,
Ôtant autant, au temps où la vie prend en otage,
Agenouillés tous ces petits êtres qu’on saccage.

Chacun sa cage sous la lune en ses pénombres,
Ombres éclaircies des parfums parfois sombres,
Ombrageuses pensées insensées d’âmes ansées,
En ces temps tangents de chaque larme tancée.

L’arme à gauche ou adroite des esprits moites,
Ouate silicosée si j’osais mettre dans la boîte,
Boitillant certes toute ma rancoeur en miettes,
Etayer le tréfonds sans qu’autres n’empiètent.

Piété sur les monts qui n’auraient plus de nom,
On a beau dire ce qu’on veut mais qui peut-on,
On redit les non-dits aux moindres interstices,
Tissant sur toile l’étoile de seules immondices.

Tout nous exhorte à ouvrir ses propres portes,
Horticulteur de son destin le reste qu’importe,
Orteils sans pied ne sauront jamais le prendre,
Rendre l’âme de nos tristes instincts à pendre.

bonjour HURON

rien à comprendre
pensées poétiques abstruses.

beaux quatrains..

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

Merci Maryjo pour ton commentaire.

Bonsoir Huron
J'ai lu en me laissant emporter par la force des mots; quant au sens intime il est dans le coeur du poète qui a porté ce poéme.
Avec toute mon amitié
Zoheïr

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L'amour est une fumée de soupirs ; dégagé, c'est une flamme qui
étincelle aux yeux des amants ; comprimé, c'est une mer
qu'alimentent leurs larmes.
William Shakespeare(Roméo et Juliette).

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




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magnifique mon ami
reviens écrire encore !

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.