A mon copain Jacques Aubin
Que j’ai accompagné ce matin….

T’avais tant de défauts
Ce n’était pas facile
Violent plus qu’il ne faut
Le contact difficile

Fumeur et alcoolique
Marginal solitaire
Tu souffrais des critiques
Ils ne savaient se taire

A présent que tu pars
Ils te trouvent sublime
Derrièr’ ton corbillard
Ils sont tous unanimes

Moi j’étais ton ami
Un frèr’ en quelque sorte
Alors leurs infamies
Aujourd’hui peu m’importent

ALTOFE (le 1er février 2011)

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Rechercher pour être libre
Le juste point d'équilibre

Il avait donc un vrai ami .... sans faille !

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un poème émouvant et un très bel hommage

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

Bel hommage digne d'une profonde amitié.
HONORE

Un texte qui me touche beaucoup parce que j'ai accompagné mardi dernier la fille de grands amis, partie d'une longue maladie.

Rien que de te lire, j'en ai encore le cœur qui saigne. Déprimant ces départs avant l'heure.

Amicalement désolé. Chibani

"Il est toujours joli le temps passé
Une fois qu'ils ont cassé leur pipe
On pardonne à tous ceux qui nous ont offensés
Les morts sont tous de braves types"
Georges Brassens

Les vrais amis peuvent tout se pardonner.

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Il ne faut jamais remettre à deux mains ce que l'on peut faire avec une seule (Pierre Dac)

Tu auras su rester son ami, son frère jusqu'au bout malgré ses défauts. Je suis certaine de derrière eux se cacher des qualités de coeur et d'esprit que tous ces donneurs de leçons n'ont jamais vu.
Bonne journée à toi
Petitelfe