Mais je t’aime Madame,
J’aime dans tes discours la douceur de ta voix
Qui cache sous tes mots le désir et l’émoi
J’aime quand les paroles de ta bouche s’envolent
Et viennent se poser au creux de mon Ă©paule
Mais je t’aime Madame,
J’aime dans ta démarche la tranquille assurance
Qui se nourrit chez moi de tendres espérances
Je t’aime comme on aime s’attacher à ses rêves
Jusqu’au jour incertain où les amours s’achèvent.
Mais je t’aime Madame,
J’aime lorsque mes yeux sont inondés de toi
Et que tu viens t’y perdre dans mes larmes de joie
J’aime les paysages dans lesquels tu voyages
Là au milieu desquels j’aperçois ton visage.
Mais je t’aime Madame,
Je t’aime quand tu sculpte de tes mains silencieuses
Sur mon corps qui exulte des pensées amoureuses
Je t’aime comme on aime et le jour et la nuit
Jusqu’au jour incertain ou s’installe l’ennui.
Mais je t’aime Madame,
J’aime quand tu souris et que le temps s’arrête
Au milieu de ma vie au milieu des tempĂŞtes
Et je t’aime dans l’ombre de mes incertitudes
Quand mes doutes se drapent de justes inquiétudes.
Mais je t’aime Madame,
J’aime quand le tempo de nos cœurs s’accélère
Quand l’espace gémit lorsque nos corps se serrent
Je t’aime comme on aime sans restriction aucune
Jusqu’au jour incertain où l’on perd sa chacune
Mais je t’aime Madame.
ALTOFE
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