Il neige dans les coeurs glacés des aux revoirs
Que le temps a suturé de sa brume malicieuse
Et, lorsque les flocons habillent le sol, de noir
Alors, les larmes de fiel s'accrochent, insidieuses

Dans les âmes moroses, vêtues d'un lourd manteau
Que la tristessse étale comme de majestueuses pierres
L'éternité ne semble paraitre comme un vieil étau
Délaissée, dans les coeurs meurtris de toutes misères

De ce froid glacial et fétide, qui s'acharne virulent
Dans le bonheur véritable qui brûle toutes passions
Implore les dieux, d'une offrande sans dévouement
Dans le destin qui déroule son malheur, en fusion

Aux lourds adieux, ancrés au crépuscule des cendres
Tourmentent d'un tourbillon de sombres et amers regrets
Que la peine dévoile en durs choix, à prendre
Et, que nul le temps pourra jamais effacer

Bonjour
Un poéme brumeux, glacial et aux ipmages loquaces; j'ai aimé. Merci.
Amitiés
Zoheir

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L'amour est une fumée de soupirs ; dégagé, c'est une flamme qui
étincelle aux yeux des amants ; comprimé, c'est une mer
qu'alimentent leurs larmes.
William Shakespeare(Roméo et Juliette).

J'ai relu plusieurs fois avant de commenter, j'ai aimé suivre ta plume dans "Ce crépuscule des Adieux", amicalement, Cathy

bonjour

crépuscule de froideur

des adieux frileux

déroulant leur morosité

pas vraiment envie de poursuivre .....

Vivement les rayons de soleil dans les coeurs

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Bonsoir Libertas,

Il est noir et froid ce beau poème du Crépuscule des Adieux et tellement à sa place en cette rude saison d'hiver.

Mais viendront un jour les doux rayons de soleil de printemps qui réchaufferont les coeurs.

Amitiés

Christian

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merveilleux poème qui va bien avec notre temps froid,vivement que le soleil apparaisse et envoye un rayon réchauffant dans les coeurs
bon week-end,amitiés,André

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Vous avez besoin d'évasion,de défoulement,alors baignez-vous dans une "OASIS" de mots parmi les vers

merci a vous pour votre appreciation
amities

texte obligeant disponibilité d'esprit, pour bien l'intégrer.

retenu, pour y revenir le relire.

FMR

merci FMR pour ton passage

voilà, j'ai relu plusieurs fois, et tenté d'isoler 1 quatrain pour illustrer mon sentiment sur le fond de ton écrit, mais chacun d'eux est indissociable des autres, chaque quatrain étant unique et partie intégrale de l'ensemble, pour former ce tout.

si je dois me prononcer sur ton écrit, il me faudrait alors opéré juste un changement d'un mot sur ton texte, pour dire qu'il m'inspire une situation d'Adieux consentis dans la déchirure, au besoin de trouver délivrance.

c'est dans ce vers:
"...Et, lorsque les flocons habillent le sol, de noir...",

pour:
"Et, lorsque les flocons habillent L' ESPRIT de noir"

mais cela n'est que ma propre perception qui n'attend d'être partagée.

FMR