Une mer trouble, et sans visage,
A convoyé sur mes plages
Une écume amère de doutes,
Et mon île est en déroute.


Surpris, les rêves s'enfuient
Tels des oiseaux au printemps
Chassés soudain de leur nid,
Perdus entre terre et firmament.

Mais aujourdhui tu n'es plus là,
tu t'es enfuie sans raisons,
en comsummant cette passion,
qui as brûlé au plus profond de moi...


Oui toi aussi tu es partie,
En silence, vers d'autres îles
Où ton coeur libre en exil
Trouve écho à tes envies.


N'est-ce, mon amour, qu'un cauchemar ?
Seras-tu à nouveau là quand ma main
Te chercher encore, dans l'espoir
frileux d'un matin ?

Mais aujourdhui tu n'es plus là,
tu t'es enfuie sans raisons,
en comsummant cette passion,
qui as brûlé au plus profond de moi...


Mon Moi a perdu son Toi
Dans l'antre des sables mouvants,
Et mon coeur si loin de toi
Prend froid, meurt tout doucement.

"Toi aussi tu es parti,
En silence, vers d'autres îles
Où ton coeur libre en exil
Trouve écho à tes envies.
N'est-ce, mon amour, qu'un cauchemar ?
Seras-tu là quand ma main
Te cherchera, dans l'espoir
Encore frileux d'un matin ?
Mon Moi a perdu son Toi
Dans l'antre des sables mouvants,
Et mon coeur si loin de toi
Prend froid, meurt tout doucement."
3 strophes que je trouve magnifiques !
Bien à vous
Ortiaz

Très beau ! j'aime beaucoup...

merci à vous pour vos mots amitié