Mon corps qui se décompose au crie de ton âme
Mon réconfort s’endort dans le désespoir de ses larmes
Sans battements de paroles, mon corps dans les frissons de l’oubli
Aux parfums de sa peau meurent l’encre de ma plume
Sans lumière dans l’ombre de ces caresses.
Mon battement se tient aux barreaux de son cœur
Et mon âme qui brule dans l’horizon de ses yeux
La rage qui hurle dans mon corps réclame la douceur de son corps
J'aime la pudeur de nos corps enlacés, qui prennent le temps de se désirer.
Mon cœur contre ton cœur fond de plaisir sucré
La tendresse dans ton regard, T'offrir mon souffle, prendre le tien
J’ai soif de l’envie d’aimer, tu deviens santé de mon sourire
Mon amour s'y consume en de vaines souffrances
Sous les tisons ardents de Ton indifférence.
Je ne suis plus que l'ombre de moi-même, La vie est si courte, aime-la comme je t'ai aimé

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l'amour est une fleur. Il faut prendre soin d'elle pour quelle fleurisse et donne son parfum.