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"Il y a cette rue que vous avez dépeint
Cette sombre éventrée rejetant en prodromes
Des myriades de murs se tenant à la fin
Pour étouffer le coeur, d'une ville à fantômes..".

Il y a les deux, et personne n'a vraiment choisi son côté du miroir.
Superbe poème avec un espoir dans les mots, malgré tout, dit-on le désespoir quand on n'a que lui ?

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Cultivez votre amour de la nature, car c'est la seule façon de mieux comprendre l'art! (Vincent Van Gogh)

Enervant ses feuilles qui tombent et qui inspirent; Alors que que l'automne est pour beaucoup l'annonce d'une saison qui elle laissera tomber de gros blocs de galères , un texte pour un Léo ou un Roger, bien bétonné!!
Superbe
amitiés Pampille

Superbe et difficile, comme à ton habitude..
Il me faut lire plusieurs fois…
Pampille pense à Léo Ferré…
En te lisant, je pense à Grand Corps Malade… J’espère que tu aimes…

« Je crois qu'on a tous une bonne étoile sauf que des fois elle est bien,planquée
Certaines même plus que d'autres, il faut aller les débusquer
Parfois ça prend du temps quand tu fais trois fois le tour du ciel
Mais si tu cherches c'est que tu avances, à mon avis c'est l'essentiel
Vivre c'est accepter la douleur, les échecs et les décès
Mais c'est aussi plein de bonheur, on va le trouver en insistant.
Et pour ça, faut du cœur ET UN MENTAL DE RESISTANT ».

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m'ont embarquée ...loin ....la musique et les mots ...mais tu t'en doutes ....

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point trop d'expension.....
mais oui, il faudrait désynchroniser les cadrans,,,,
il me reste du vert en voulez vous pour vos feuilles mortes?

- non

-bon, repasserais au printemps

...
toujours d'autres dimensions,

une aisance,

votre poésie.

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" Le secret de ma tristesse est dans la vivacité de mon plaisir "

Il y a cette rue s'ouvrant comme un chagrin,
Cette sombre éventrée rejetant en prodromes
Des myriades de murs se tenant à la fin
Pour étouffer le coeur, d'une ville à fantômes...




Une vision de la rétraction du temps, où la vie semble muette et suspendue, dans les rues au ralenti, enrhumées, baillant des soleils de givre! Amitiés

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Je crois qu'il n'y ait eu guère d'auteurs qui aient été contents de leur siècle. Vauvenargues.

coucou fille de poésie

il y à dans cette rue un enfant de bohème

ouvrant ton cahier aux pages grillagées

un apprenti Gavroche trainant ses galoches

sous la la lumière des réverbères

ouvrant de grands yeux sur tes feuilles d'automne

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