Excès de souffrance étouffante qui malmène mon esprit rouge
Intrépide douleur noire qui n'a rien à voir avec les bobos d'avant Algies endurées par mon petit coeur bleu cessez de damner mon existence blanche Ô fils d'Aphrodite quelle erreur as-tu commise Ta flèche me mène au bûcher puisque seul mon coeur tu as transpercé Que dis-je seul mon coeur et pourtant c'est mon âme qui meurt De décades en décennies ton souvenir ne s'estompe Je t'ai dans les yeux dans la peau sur la bouche mais jamais dans les bras Paroxysme de cette injustice qui me fait prisonnière de ce fichu amour impossible