Vous le lui demandiez,
Et vous avez dansé,
Madame.

Déchantée.

Un sacré plan,
Fort. Il vous l’a fait.
Au Café des Terrasses,

Là.

Lui dire… Lui, lui dit :
Allo…
Sa femme bout. Au fil.

Las ! Puis sa batterie recoupe
Les prétextes tournesol.
Il pause sur son café
Et sous le verre de vin.

Devin, en devinettes,
Peignant fort ses à-plats,
Sur la rue,
Au travers de la grille,
Au diaphragme soubresaut
De vos yeux carabine.

Alors,
Voici la solitude figée à fleur de peau.
Voici le gris linceul revêtant vos regrets.
Voici la douleur, vaine,

Et le cœur en gros plan.







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Fabricando fit faber est un proverbe de vérité, car il est rare en effet qu'en poétisant dru on en devienne mannequin de haute-couture voire même petit télégraphiste.

Bonjour tetrao, c'est très poétique.
Merci pour ce échange.
Mon amitié.

Capricorne

merci Capri
même si c'est fini
ici

je ne peux pas passer à côté ! relire ce texte me plait , comme la 1ere fois .tu as une écriture unique , et vraiment talentueuse à mon goût ! donc je te dis merci, encore .et oui ils nous l'ont fait le plan ! mais nous ne sommes pas en reste !
et aussi quel plaisir que ce morceau de Clapton ! j'adooooooreeeeeee
dis à notre ange qu'il passe nous saluer un peu ....

Etrange et divine poésie accompagnée d'un blues tout aussi divin. Merci pour cette merveille !

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"La sagesse est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit" (O. Wilde)

@Eve, merci vraiment. vraiment. pour notre ange je lui ai dit, sourire

@Nébula, rouge aux joues, merci

à vous lire encore

une vision forte et vraie, merci pour ce plaisir de lecture musicalement illustré par un blues de circonstances...j'ai beaucoup aimé.

amicalement


yann