Quand la nuit a vécu pour rassasier nos corps,
Que les premiers rayons voudraient tout effacer,
Tes jambes dans la soie me font rêver encor.
Que j’aime les bas, tôt, sur ton beau cuir racé !
………
Encor ne faut-il pas qu’un ongle mal taillé
Déchire un fil de soie qui va les démailler…
………
Je t’imagine, ami, à genou devant elle,
La suppliant des yeux, implorant son accord…
Car tu aimerais tant grimper à cette « échelle »
Pour éteindre le feu qui brûle dans ton corps….