Hum !
Sirène de mes nuits
aux douces mélopées.
Je suis le naufragé de l’éveil
posant sa tête sur ton oreiller .
Voguant en pensée
sur l’onde de l’amour.
Je viens te retrouver au port
des virtuels amants.
Instants bonheurs de toucher
ton corps, ton esprit dans mes mots,
de sentir la tiédeur d’un émoi partagé.
En arabesques j’ai enlacé nous deux.
Quand la nuit ce fait jour
je reste seul sur mon rocher
à contempler cette mer
en espérant demain.
Dans un dernier baiser échangé,
le rêve s’est estompé
Mais nos cœurs sont marqués
de l’empreinte d’un aimer
Phildor 15/07/2010
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De l'ombre à la lumière sur le chemin de la poésie