En hommage à un certain Francis Cabrel:
Qui tout comme moi à vécu ses moments là jadis pour en parler si bien dans une belle chanson.



Ça commence par un regard
Qui n'est pas le faîte du hasard
Puis l'on jette son dévolu
Sur un charmant individu.

Sous les lumières des projecteurs
On peut dire qu'on y met du cœur
Afin que l'élu de la soirée
Puisse enfin nous remarquer.

Non ce n'est pas le grand amour
Ce n'est même pas l'amour tout court
C'est seulement un besoin une envie
Ne chercher pas nous sommes Samedi.

A travers l'écran de fumée
Nous nous sommes quand même trouvés
Pour danser un slow langoureux
S'admirer les yeux dans les yeux.

On est tellement collés serrés
Que l'on peut à peine respirer
Mais on à besoin de sentir
Le corps de l'autre vibrer frémir.

Non ce n'est pas le grand amour
Ce n'est même pas l'amour tout court
C'est seulement un besoin une envie
Ne chercher nous sommes Samedi.

On s'embrasse passionnément
Comme si l'on était des amants
On se chuchote des mots doux
Mais non nous ne sommes pas fous.

Qu'importe ce que l'on se dit
Ensemble on va passer la nuit
Et puis au petit matin
Chacun reprendra son chemin
En attendant samedi prochain.........

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On a tous le sang de la même couleur

Carpe diem, tout simplement,
vivre sans se poser de questions.

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chrysalide38


Plume de bonheur, plume de malheur, tu signes mes émotions.

profiter des plaisirs de la vie sans se poser de questions,telle semble être la devise de ton poème

Bonjour Penélope voila des samedis bien coquine et bien remplis. Oh comme tu as raison brisons les chaînes et déchaînons- nous.
Merci pour ctte belle soirée.
Mes bisous.

Capricorne

Bonsoir Pénélope, Hé ben ! combien furent ils ces samedis qui ne dépassèrent pas le dimanche, relations brèves où seulement le contact humain était recherché le besoin de rencontrer l'autre de le toucher et peut-être de l'aimer le temps nécessaire aux ébats amoureux et puis l'oubli du rendez-vous promis la semaine suivante, l'âge ingrat quoi!!!

Merci à tous d'être passés lire mes souvenirs de jeunesse l'époque de la drague et oui c'est bien cela
Mes amies et moi nous sommes bien amusées avant de passer au chose sérieuse et je ne regrette rien
Même pour ma génération nous étions en avance sur notre temps nous revendiquions le droit de vivre tout comme les mecs.
A l'aube de la soixantaine je ne vois toujours pas pourquoi ces messieurs pourraient faire certaines choses et les dames n'en auraient pas le droit

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On a tous le sang de la même couleur

merci pour ce partage!

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la poésie est le parfum de l'ame

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Que de conquêtes se tissent ainsi... merci beaucoup pour ce charmant épisode