Les petites danseuses de la nuit
Enlacez moi dans vos draps blancs,
songes éphémères d‘aimer de mes nuits
Déesses d’une beauté rare dont je suis le héros,
mes sens respirent leurs éthers parfumés
Virevoltent les lumières des auras,
dans mon, sommeil sans lune
Petites étoiles courant sur mon plafond
allument dans mon cœur, petites étincelles
Je me tourne, me retourne essayant d’en happer,
dans ma main poussière d’ange.
Mais de moi se joue en ombres chinoises
dessinant sur mon corps leurs mains
Elles s’appellent entre elles, en riant
Homme, homme je vous aime,
répètent elles et s’envolent
quand mon œil s’éveille
Phildor
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De l'ombre à la lumière sur le chemin de la poésie