Comme du velours, il dévoile son regard
Sur la mère enchanteresse des matins
De sa douceur, ainsi, il s'égare
Dans les plis humides de ses mains

Ses paupières mi-closes, embrumées
D'un chagrin, au firmament de la nuit
De cette couverture grise, et tant abimée
D'un voyage du destin, au paradis

Cette peau, souplesse, du passé
De la poussière, s'envole au destin
De chaque cri, de souffrance, à l'éternité
Un baiser d'adieu dans les longs chemins

La mère, gisante, dans les tentacules
De ce ciel, sous les ombres morbides
De son âme, virulente dans le recul
Du passage profond et sordide

Un éclat de lumière, scintille, sous la voûte
Le départ, imminent, sans refrain
L'enfant, de ses larmes, verse un doute
Pour l'amour, de la mère, au lointain

des vers déchirants de tristesse et de douleur!

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Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
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Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!

Bonjour Rouletaboule,

Lorsque tu laisses écrire ton coeur, tu couches sur l'écran de bien jolies choses.
C'est pourquoi, de ce site comme poétesse, je ne voudrais jamais voir un jour ton départ imminent.

Mon amitié
Christian

Poignant et émouvant, ton poème,
on y ressent tant de détresse...

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chrysalide38


Plume de bonheur, plume de malheur, tu signes mes émotions.

merci a vous tous pour apprecier mes vers, de joies et de tristesses
merci mon ami christian, tu ne me verras pas partir, je serais sage
merci chrysalide, je t'adore
merci mostafa, pour ton passage sur cet ecrit

amities a vous tous