Qui est en ligne 80 utilisateur(s) en ligne (dont 75 sur Poèmes en ligne) Membre(s): 2 Invité(s): 78 Missi, Sybilla, plus...
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Expéditeur |
Conversation |
italogreco |
Envoyé le : 8/6/2010 13:48
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Plume d'or Inscrit le: 13/10/2009 De: Envois: 1294 |
La trace d'une blessure. Je veux rester seul, avec ma mélancolie,
Dans l’enfer d’un sentiment infini,
Qui me dicte une souffrance audacieuse,
Mais qui se révèle pourtant délicieuse,
Dans l’amour viscéral ressenti.
Mes jours ne sont plus que des nuits,
petites, immenses, capricieuses,
qui recherche tes manquées caresses,
emporté jalousement par le dernier vent,
vers le paradis des larmes en coton.
Ou s’est réfugié ton cœur en détresse,
suinté d’une profonde tristesse,
pleurant une blessure indélébile,
agonisant une inexistante tendresse.
Voir ton amour s’enfuir à jamais,
Ă en Ă©touffer le ciel,
ou s’est endormi ton sourire ,
être penché à la fenêtre,
te voire t’éloigner et disparaître.
Ă travers la pluie ruisselant de regret ta chair.
Vouloir renaître des cendres dorées de tes peurs,
Ă en faire tomber les Ă©toiles une par une,
pour en faire un collier de sentiments,
que j’accrocherai tendrement à ton cou,
qui n’a jamais su ce que c'était un bijou.
Faire découvrir enfin à tes yeux les perles du bonheur,
qui de liesse éveilleront et soulageront ton cœur,
se réfugiant à jamais dans le mien,
ou tu ressentira son envie de battre à jamais près du tien.
Mais je me réveille est tu n’es plus près de moi,
tu ne sais pas comment ça fait mal,
la passion me torture et me caresses maintes fois,
douleur et douceur s’entremêlent avec ardeur.
Je comprends tes craintes, ta souffrance,
je voudrais rendre assassin le destin,
pour te retrouver et te rassurer chaque matin.
Mes frissons ne connaissent plus la fin,
dans l obscurité il reconnaitrait tes mains,
mes nuits frémissent ce maudit silence,
quand toi Ă mon oreille me murmurrait de belles romances.
Je ne sais si mon cœur connaitra d'autre saison ,
je ne sais pas si mon cœur connaitra d'autre raison,
si le destin lui permettra d'Ă©viter d'autre malheur,
ou si il désire souffrir encore et encore,
pour respirer le souffle d’un amour mort à tort.
Pour comprendre que c'Ă©tait seulement toi,
aujourd’hui et à jamais il a fait son choix.
Il t as lié à lui pour une éternité,
aussi belle que ta beauté ,
aussi douce que la clarté de la rosée.
Hors ma lune s'est éclipsé et s'est enfuie,
Dès que j ai voulu la décrocher pour toi.
Elle n as jamais aussi triste depuis que tu es partie,
mais elle Ă©clairera Ă jamais dans le temps,
la dernière nuit ou nous avons ravivé notre passion.
WADARTRIFF ET ITALOGRECO
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Demi-lune |
Envoyé le : 13/6/2010 12:31
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Plume d'or Inscrit le: 13/1/2010 De: Au beau milieu du ciel Envois: 1841 |
Re: La trace d'une blessure. Très beau
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mistruzzi |
Envoyé le : 17/6/2010 16:28
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Plume d'argent Inscrit le: 18/10/2009 De: Envois: 409 |
Re: La trace d'une blessure.
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AMIDOU |
Envoyé le : 19/6/2010 20:22
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Plume de platine Inscrit le: 29/3/2008 De: Envois: 3761 |
Re: La trace d'une blessure. Un duo fort reussit.Bravo Ă vous deux ---------------- ---------------------
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wardatarifit |
Envoyé le : 31/10/2010 0:03
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Plume d'or Inscrit le: 16/11/2008 De: maroc/tanger Envois: 1488 |
Re: La trace d'une blessure.
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aquane |
Envoyé le : 14/11/2010 8:55
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Plume de platine Inscrit le: 23/11/2008 De: Là , où vague à l'âme s'exporte, où sérénité frappe à la porte" Envois: 7868 |
Re: La trace d'une blessure. Superbe poésie mélancolique aux reflets de ton coeur égratigné d'amour ----------------
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Eve-Lyne |
Envoyé le : 14/11/2010 9:17
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Mascotte d'Oasis Inscrit le: 24/9/2009 De: La Route des Vins Envois: 13298 |
Re: La trace d'une blessure. Coeur blessé, mélancolie et tristesse ! Amitiés ---------------- EvE-LyNe
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bouclier |
Envoyé le : 14/11/2010 21:16
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Plume de soie Inscrit le: 18/9/2010 De: COLOMBIA Envois: 119 |
Re: La trace d'une blessure. Salut. Je veux te dire simplement que ce beau pome m'a touche l'ame. Citation : italogreco a écrit : Je veux rester seul, avec ma mélancolie,
Dans l’enfer d’un sentiment infini,
Qui me dicte une souffrance audacieuse,
Mais qui se révèle pourtant délicieuse,
Dans l’amour viscéral ressenti.
Mes jours ne sont plus que des nuits,
petites, immenses, capricieuses,
qui recherche tes manquées caresses,
emporté jalousement par le dernier vent,
vers le paradis des larmes en coton.
Ou s’est réfugié ton cœur en détresse,
suinté d’une profonde tristesse,
pleurant une blessure indélébile,
agonisant une inexistante tendresse.
Voir ton amour s’enfuir à jamais,
Ă en Ă©touffer le ciel,
ou s’est endormi ton sourire ,
être penché à la fenêtre,
te voire t’éloigner et disparaître.
Ă travers la pluie ruisselant de regret ta chair.
Vouloir renaître des cendres dorées de tes peurs,
Ă en faire tomber les Ă©toiles une par une,
pour en faire un collier de sentiments,
que j’accrocherai tendrement à ton cou,
qui n’a jamais su ce que c'était un bijou.
Faire découvrir enfin à tes yeux les perles du bonheur,
qui de liesse éveilleront et soulageront ton cœur,
se réfugiant à jamais dans le mien,
ou tu ressentira son envie de battre à jamais près du tien.
Mais je me réveille est tu n’es plus près de moi,
tu ne sais pas comment ça fait mal,
la passion me torture et me caresses maintes fois,
douleur et douceur s’entremêlent avec ardeur.
Je comprends tes craintes, ta souffrance,
je voudrais rendre assassin le destin,
pour te retrouver et te rassurer chaque matin.
Mes frissons ne connaissent plus la fin,
dans l obscurité il reconnaitrait tes mains,
mes nuits frémissent ce maudit silence,
quand toi Ă mon oreille me murmurrait de belles romances.
Je ne sais si mon cœur connaitra d'autre saison ,
je ne sais pas si mon cœur connaitra d'autre raison,
si le destin lui permettra d'Ă©viter d'autre malheur,
ou si il désire souffrir encore et encore,
pour respirer le souffle d’un amour mort à tort.
Pour comprendre que c'Ă©tait seulement toi,
aujourd’hui et à jamais il a fait son choix.
Il t as lié à lui pour une éternité,
aussi belle que ta beauté ,
aussi douce que la clarté de la rosée.
Hors ma lune s'est éclipsé et s'est enfuie,
Dès que j ai voulu la décrocher pour toi.
Elle n as jamais aussi triste depuis que tu es partie,
mais elle Ă©clairera Ă jamais dans le temps,
la dernière nuit ou nous avons ravivé notre passion.
WADARTRIFF ET ITALOGRECO
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