Parce que tout au fond du puits parfois il fait nuit noire
Mais que certains échos transportent les désespoirs
Parce que les mots souvent ont la saveur des joies
Il m'a semblé te lire t'adressant bien à moi
Merci Kendor à la parole d'or pour ton invocation qui me fait sentir fort
Moi le petit soldat à peine relevé, appuyée sur ma plume, papier en bouclier
De guerre lasse je tire à boulets rouges sur les ombres de mon désert des Tartares
Courant les dunes zigzaguant sous mille morts
Te sentant là marcher à mes côtés pour vivre et pour écrire je ne serai plus jamais en retard.
Ta soeur Anne.