---

Dans "Partages Oasiens", « dolores » écrit ceci :
« Depuis quelques jours je me bats avec des douleurs impossible à gérer j'ai été deux fois aux urgences mais à chaque fois les médecins n'ont rien trouvé malgré tous les investigations faites échographie et scanner rien du tout pourtant je souffre le calvaire ...je suis allée aux urgences 2 fois en moins de 48 heure ».

Hé bien, il m'arrive la même chose, mais pour le souffle. Mon capital respiratoire à durement chuté et aujourd'hui, ma capacité cardio-respiratoire est de seulement 24%. C’est-à-dire que je dois vivre au ralenti pour m'essouffler le moins possible. Aussi bien dans la marche que dans mes gestes quotidiens.

                Ma série des "QUATRE" :
Après quatre admissions aux urgences, quatre radiographies, quatre scanners, quatre auscultations réalisées par quatre pneumologues différents (trois appartenant aux "urgences" et un œuvrant "en cabinet particulier") depuis le début de ma crise, plus une semaine d'hospitalisation en "médecine polyvalente", nul ne peut expliquer le pourquoi de cet état de fait. Je dois donc faire avec...
                ... mais jusqu'à quand ?????

Suite à tout un "impressionnant" traitement médicamenteux, des triples inhalations journalières prescrites par le "fameux psychologue exerçant en cabinet particulier" et ce, depuis début "JANVIER 2022"... pas de résultats vraiment encourageants.

Alors, à ma énième sortie des urgences de l'hôpital, ayant relégué aux oubliettes mon psychologue pratiquant "en cabinet particulier", on m'a donné de nombreux exercices physiques à faire pour remuscler mon diaphragme (muscle principal de la respiration) et dégager mes bronches en tonifiant mes muscles respiratoires...
                ... ainsi que travailler les muscles des bras, du ventre, des jambes, etc.
Le tout ayant été trop longtemps délaissé suite à ces insupportables "halètements convulsifs" survenant au moindre effort. Entre autre, lorsque que je lève un peu trop rapidement ne serait-ce qu'un bras en l'air pour attraper quelque chose dans un placard (c'est vous dire !).

C'est pourquoi j'étais souvent absent du site. En essayant malgré tout de faire quelques "timides" apparitions. Mais peine perdue.

---

Comme je disais... seulement voilà !

Retour aux urgences. Motif : j'avais attrapé la grippe, ce qui a aggravé mon cas.
Alors le dimanche 5 février, 2 jours en chambre confinée en zone tampon.
Puis, le mardi 7 février, transfert en pneumologie. Toujours en chambre confinée.
Sortie de l'hôpital le lundi 9 février 2023 et retour à la maison. En espérant que sera ma dernière admission aux urgences.

Comme je l'ai écrit précédemment, je garde malgré tout ce besoin de faire de l'humour pour ne pas sombrer.


Parce que pleurer sur mon sort n'arrangera certainement pas les choses.