Je n’aime pas.
Kerry James ne peut être que le porte-parole de lui-même, quand il emploie le « on »,le « nous » qui veut-il donc représenter ? Les gars de sa cité ? (qu’il a dû fuir depuis qu’il est dans le business de l’industrie du disque), ou pire, une génération entière d’habitants des ghettos disséminés dans le pays entier ?
De plus, à part enfoncer des portes ouvertes qu’apprend-on vraiment de sa chanson ?
Victimisation, constat d’échec social, « guerres intercommunautaires », un à peu près d’autocritique, un à peine semblant d’espoir…J’ai trop entendu tout ça et la plupart des jeunes des cités ne se voient pas ainsi, je baigne dedans depuis toujours.
Enfin…je disais ça…ah oui, je ne parlerai pas de l’ambiance musicale…alors là oui ! CONSTAT AMER
LOL
Dis Romain...on reste pote hein?
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MĂ©fiez vous des apparences