Qui aurait cru que ta fraicheur hivernale brulerait mes sentiments comme un été ardent ?
Qui aurait cru que ton aura rendrait au monde ses pastels flamboyants comme le printemps ?
Qui aurait cru que ton absence me ferait languir les beaux jours autant qu'une journée d'automne ?
Qui aurait cru que tes yeux bleus, élévateurs comme les cieux et profonds comme l'océan, daigneraient un jour se poser sur mon ombre ?
Qui aurait cru que ce sourire sincère du savant qui a trouvé, ou de l'enfant gourmand devant une friandise, illuminerait un jour ma vie ?
Qui aurait cru que ces lèvres fines s'ouvriraient un jour pour moi comme un tournesol pour son soleil ?
Qui aurait cru que séparés par des milliers de kilomètres tout autant que par le destin, nos âmes puissent s'éprendre ?
Qui aurait cru que telle l'hirondelle apportant vie et bonheur, tu déciderais un jour de venir à moi ?
Qui aurait pu savoir que l'avare carcasse de fer t'emporterait avec elle dans son ultime chute ?
Dors en paix, j'arrive bientôt.
Ton Orphée.

Ton poème est très émouvant, je ne sais si il est réel mais la fin me laisse des frissons, en tout cas bravo pour ce poème très touchant, au plaisir de te lire amitié jess

Sublime!

Très beau, j'adore!

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Je vous aime d'Amour, le vrai, celui qui vient d'en haut, dont la pureté éblouit les yeux de notre âme.

tres beau poème reel ou irreel car la fin et bien triste.mais la vie et ainsi faite de joie et de douleur.Mais apres la nuit vient toujours le jour et l'esperance d'un jour nouveau fait d'amour.. amitiee anne france