Lorsque j’allume la télé
Je recherche les reportages
Ceux des contrées dites sauvages
D' Amazonie Indonésie ou Papouasie
Et je m'émerveille devant ces peuples
Hommes et femmes oiseaux
Aux corps souples décorés de tatouages
Vivant de presque rien
Souriant de leur vie
A marcher pieds nus pour chasser
Ou se baigner dans des eaux limpides
Je me dis souvent que j'irais bien
Passer quelques semaines
Ou même le restant d’ma vie
Fuyant notre monde à la dérive
Dans ces belles forêts
Où la nature a tous ses droits
J'y vivrais des bonheurs tranquilles
J'accrocherais de jolies plumes à mes cheveux
Je me prendrais pour un oiseau

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"La sagesse est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit" (O. Wilde)