Bonjour être-humain, merci pour la place que tu me réserve. Je suis et sans nulle doute un admirateur de tes poèmes humains, d'ailleurs on ne peut donner ce qu'on ne possède pas. A chaque lecture de tes différents poèmes je sentais l'humain, cet homme que je ne croise plus dans mes rues, celui que je ne vois plus sur les terrasses des cafés. Toi, Phil et Jean Paul, spécialement vous trois, êtes très proche de ma vision que je me fais de cet Homme que je veux avoir comme ami , compagnon de vie et dernier visage à vouloir voir au moment de trépasser.
Tu sais je suis très attaché aux anciens trucs, surtout les vieux films, lorsque il y avait des hommes qui faisaient du cinéma. Je me rappelle du film « Hombre » de Martin Ritt avec Paul Newman et Fredric March .A la fin du film le mexicain tue Newman et ce dernier l’atteint aussi, mais avant de mourir le mexicain demande à Martin Balsam : « Comment s’appelle –t’il ?je ne connais même pas son nom ».C’est terrible. Autre sens mon ami…
J’en ai pleuré et j’en pleure toujours à la fin de ce film.
Merci mon ami et bravo pour l’ensemble de tes écrits.
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A l'éxil des mots; au coeur des sens.