On se perd on oublie où était le début.
Où l’amour prit il fin dans quelle mer fut jeté.
Et ce cœur plus serein ? Par quel vent asséché ?
C’est la vie symphonie d’une Moldau sans but
Prend sa source caracole puis traverse la Bohême.
Tant de contrées sauvages à l’attrait séduisant.
Fait son lit puis s’étire vers le monde doucement,
Où ses rives promènent tous ces couples qui s’aiment.
Dans les brumes lointaines en méandres s’éloigne
Toute d’arpèges cette fin est venue crescendo.
Deux mains se rejoignent pour finir au piano.
Un doux filtre se diffuse, tout le corps gagne,
De notes distillées en sourires enjôleurs,
On retrouve ces débuts qui firent battrent nos cœurs.
Gigi
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aimer les autres pour ce qu'ils devraient être
non pour ce qu'ils sont...