L'adieu au bât ...
Or donc mes belles Garces qui me voulez chaisner,
Le tétin hors taillis suggérant la luxure
Me mettre en vostre loud et cru me dévorer,
Comme ferait l’enfant qui robe confitures.
Que nenni mes donzelles, non plus que plus matures,
Si j’aime coqueliquer en les prairies herbues,
J’abhorre par-dessus tout des geôles les ferrures,
Fussent elles déclinées par un charmant joufflu.
Par deux fois dans ma vie, je me suis laissé lier,
De merveilleux minois, de bien belles utopies
Mais lorsqu'à la parfin l'alliance fut passée
La ciguë en ciboire j’ai bu jusqu’à la lie.
Alors mes douces belles, je prendrai vos tétées,
Et ce jusqu’à l’envie, vos pis sont si exquis,
Mais faut il estre fol pour la vache acheter,
Dès lors que les laitages me sont offert gratuits…
MĂ©phisto
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