5 mai 1945, au maroc, tu nais
Enfance paisible, enfant terrible
De tes parents tu es fierté
En tant que garçon inamovible.

17 Octobre 2008, tu meurs
Dans ma tete, a jamais gravée,
Depuis cette heure, je suis en pleurs,
Car je viens de perdre ma fierté.

10 Novembre 2008,tu renais,
Homonyme, mais unanime pour moi loin d'être,
A mes yeux, je ne saurais,
Te hair, ou t'aimer peut être.

merci pour ce joli texte

joyeuses fêtes de Noël

Bienvenue dans nôtre Oasis qui, je l'éspère va devenir la tienne car elle permet de partager son cœur comme tu l'as si bien fait dans ton poème.
HONORE

quoi de plus tragique que de perdre un être aimé, même si certains diront que c'est le destin de chacun.
Cependant, avec douleur, tant que nous vivrons, et tant que les plus belles images resteront gravés dans nos esprits et dans nos cœur, ils seront toujours nos supports et nos modèles.
bonne écriture, au plaisir de te lire de nouveau...