Quand au loin j’ai vu ce long oiseau d’argent
S’envoler dans le ciel,
J’ai su au fond de moi que plus rien ne serait pareil.
Comment ai je pu te laisser partir?
Toi a qui j’avais confie mon avenir?
Et maintenant que je ne t’ai plus auprès de moi,
Je voudrais t’envelopper dans mes draps de soie .
Combien je donnerais pour être a tes cotes,
T’enrouler de mon corps et recevoir tes baisers.
Tes caresses me manquent et je n’ai point honte
De dire que je suis impatiente de sentir sur mon corps
Tes mains , ta bouche et tes baisers encore, encore.
Jour et nuit tu obsèdes mes pensées,
Et au petit matin je ne sais que pleurer.
Mon chéri, les jours qui me séparent de toi,
Seront désormais comptés en sens inverse.
Quand arrive la lueur du jour, je veux me souvenir
de ces doux rêves ou tu étais là pour toujours.
Dans tes cheveux, je veux passer ma main,
Te peigner de mes doigts jusqu’au lendemain.
Lendemain qui approche a petits pas,
Ou tu devras ne plus jamais me laisser .
Je resterais prés de toi, quoi qu’il arrive
Et avec toi je veux toujours vivre .
Ce n’est certes pas un poème en alexandrins,
Mais c’est le mien que je t’offre aujourd’hui.
Pour que tu saches que mon amour est infini,
Et qu’il sera ainsi jusqu'à la fin de ma vie.

Je t’aime,
Brigitte