J'ai tout compris, les vagues mortes, les sables mouvant Les larmes des chiens aux portails des couvant Les envies de tout laisser et de partir en courant Puisque sous le poids plient les calculs des savants
J'ai tout compris et me voila, en proie au doute Et si j'avais eu a ce point tort, pris une mauvaise route Qui sera assez ignorant pour me sauver de la deroute Et m'offrir, de l'eau, des incertitudes et un casse-croute...