Une infinité de mots nourrissait ma croyance,
Nombre de paroles brulaient mon innocence,
Sous la flamme de tes dires tu attisais la passion,
Tu créais des rêves,
Qui n'était que songes
Sous le feu de tes mensonges,
Prononcés à l'oreille
D'elle si pure,
D'elle que tu as apprivoisé,
D'elle à qui tu as menti,
A elle que tu as trahi
Elle qui aujourd'hui comme avant te rejette comme un simple détritus,
Elle pour qui tu es devenu qu'une raclure,
Une enflure,
Toi goujat,
Allant de mésaventures en mésaventures avec toi,
Vers lequel jamais elle ne viendra
Avec lequel il n'y aura jamais de première fois,
Tu es à l'origine de ses blessures,
De ses déchirures nées de tes parjures,
De tes injures.

Melle Dalila Sarha Zouache Hammouche Belhamel.

Ca t'apporte quoi la vulgarite ? C'est juste une question, rien de plus. On peut dire la même chose sans l'utiliser.
Domage qu'un texte sympa soit entache de cette facon.

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Pour voir la vraie beauté d'un éclat de la lumière il faut être dans le noir absolu...