Tu sais autrefois les poètes arabes anté-islamiques et post-islamiques, avant d'entamer un poème ils consacraient les premiers vers en guise d'introduction a ce qu'on appelle"pleurer les maisons"(qui n'en etaient pas des maisons mais juste quelques pierres en forme de cercle à l'emplacement des tentes, et qui dit tente dit transhumance.On appellait cette pratique de poèsie "Marquer un arret devant les ruines" Al wouqouf aala al attlal".
Je disais qu'un poète apres avoir tant loué les merites de la maison a dit: "Ce n'est pas l'amour des maisons qui m'a forcé a m'arreter ni a dire a son propos de la poèsie, mais c'est a cause de ceux qui avaient habités cette maison".
N'est ce pas un peu vrai qu'on aime sa maison non pas uniquement par ce qu'elle est belle grande ou spacieuse, mais plutot parceque ceux qu'on aime s'y trouvent et la remplissent de bonheur et de chaleur?
Amicalement . Allah y aatik essaha.
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