Mais, l’oiseau blanc lui dit qu’il n’avait pas peur de salir son plumage. Et qu’auprès de ses consoeurs, il finirait par faire des ravages. L’oiseau noir en souriant, lui dit, bienvenue dans les corons. Tu sais les terrils sont blancs aussi à la morte saison.
Mais, à l’automne, commencèrent à arriver les chasseurs. L’un d’eux avait reçu un fusil en cadeau, quel bonheur ! Il vit l’oiseau noir dans le ciel et tira sur lui d’un coup sec. L’oiseau blanc voulu le ranimer en lui faisant du bec à bec.