Mon âme se noie dans les courbes sibyllines,
L’odeur avilissante des pensées d’ébènes,
Ne rejoint plus aucune accalmie, mon amie,
Repose moi dans ton antre, ho cœur sirène.

L’éclair a perdu sa flamme dans un souffle,
Paroxysme d’un état second inhérent, ancestral,
Des voix se posent sur la verve qui coule,
Tout se fige et rien ne reste que des impondérables.

Kalie n’aime pas les vérités réalistes,
Elle sort pas à pas vers ses mânes,
Kalie n’aime pas l’amour blafard,
Elle ne joue plus des mots affables,
Kalie aime Calliope.

Le bleu des murs crispés du paradis,
Atteint les pensées pures d’ange,
Mais la terreur ne trouve pas d’abris,
Au sein des anges ailés au faux louanges.

La solitude s’insinue au-delà de tout,
L’immensité n’est plus un vers de néant,
Le plus dur est de survivre en nous,
Car notre mal nous attire séant.

Kalie n’aime pas les vérités réalistes,
Elle sort pas à pas vers son âtre,
Kalie n’aime pas l’amour blafard,
Elle ne joue plus du sang black.
Kalie aime Calliope.

Beau au sens profond, Kali doit surement aimé cette pensée poètique que tu as gégéreusement partagée avec nous... Merci à toi...

Kader...

tres profond, très beau !!!

Très beau poème.

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Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.

un joli texte profond

C'est le premier poème que je lis de toi et je sens en lui toute la puissance évocatrice d'une pensée hantée par le Mythe.
J'attends avec plaisir la suite afin de mieux te connaitre.
HONORE

Merci à vous !