Ca ne te dérange pas d'occuper mes pensées
De ne pas me laisser respirer toute la journée.
Tu t'es permis d'entrer dans mon coeur,
Sans invitation comme un voleur,
Tu t'y es installé tel un squatteur,
C'est grand bonheur, taché de douleur.
La nuit tu te permets de venir hanter mes rĂŞves,
M'accorderas-tu une trève.
Je souhaite t'oublier
Alors d'oĂą tu te permets
D'arriver devant mes yeux,
Surtout que t'aimer n'est pas ce que je veux.
Et si j'arrétais de me mentir,
Car ce serait comme nous (me) trahir...
Et si je m'avouais que cette façon que tu as de m'obséder.
Est loin de tout ce qui me déplait...
lajuju
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