A vous, à qui la chance a préservé du malheur,
Ayez la clairvoyance de reconnaître votre bonheur,
Car c’est beaucoup votre chance et la volonté de Dieu
De vous épargner la souffrance, la peine et l’affliction.
Profitez de la vie, sans gaspiller une miette,
Petite miette gaspillée, c’est une grande perte,
La vie est trop précieuse pour ne pas prendre soin,
Combien payerait l’handicapé pour pouvoir marcher !
Et le malade inguérissable dont sa vie va s’en voler.
Vivez à fond vos vies, sans y faire des folies,
Mettez un peu d’harmonie et ne soyez pas aigris,
Chantez une symphonie, lorsqu’il vous vient l’envie,
La musique c’est la panacée, qui soigne l’apathie.
Coloriez gaies vos vies, couleurs de l’arc-en-ciel,
Et vous en serez ravis, les couleurs font l’harmonie,
Transformant vos tristesses, par une joie infinie,
Vous ne vous souviendriez plus de vos mélancolies.
A vous à qui la chance, vous favorise et vous souri,
Ayez-en l'obligeance et sachez dire merci,
Refusez les tempêtes, qui font de très grands bruits,
Ayez le cœur en fête les jours comme les nuits.
Vous m’en donnerrez de nouvelles d’agir ainsi.
Remplissez vos têtes, de pensées positives,
Donnant aux malades, l’envie de vouloir vivre,
En vous voyant joyeux, trouverons leurs sourires,
Au fond de leurs malheurs, une porte peut s’ouvrir
Luttant comme des acharnés afin de pouvoir guérir,
Au fond de leurs souffrances un chemin va s’ouvrir,
Donnant accès à une petite route toute fleurie,
Rempli de fleurs champêtres, accédant au Paradis,
Où sont les gens très sages qui on sut apprécier la vie
Qui ont gardé l’image, comme une photographie,
Avec des jolis paysages, dont l’harmonie fait mariage,
Avec l’entourage, la nature et l’homme un peu sauvage
Ne sachant pas apprécier, ses chances ni avantages.
A vous à qui la chance, donnez votre chance en partage.
Paquita
Dédié aux personnes qui ne se rendent pas compte de leurs chances.