Je suis un petit bateau en plein océan
Je suis rempli de petits oiseaux qui chantèrent le silence du mot liberté
Mon bois est unique il fait pousser des Roses Rouge aussi spécifique
Dans un petit coin loge une petite araignée avec ses files de dignité
A chaque fois des petits doigts me poussa, ce n’est rien que des petites vagues
Le vent envoie son enfant le moins puissant pour donner du souffle Ă mon petit manteau en voile
Un tout petit esprit me tennis compagnie, il me fait avancer lentement en s’appuyant sur mes petites pagaies
Mais qui avait parler d’un océan c’était un petit lac fonder dans le petit ombre d’un océan
Entourer de petits poissons qui sauta de temps en temps et me doucha avec des petites gouttelettes d’eau diamantée
J’étais tellement petit que les grands navires me nommèrent la petite ancre abandonnée
Et ceci à cause de la brillance que dégagea le laqué de mon bois
Mais personne ne savait que cette nuance n’était rien que la queue de la petite sirène qui visita de temps en temps le royaume de mon silence au buddha indien
Ses cailles en or pharaonien
Sa peau d’une chair aphrodisiaque
Ses yeux au regard de Cléopâtre
Son flair au parfum d’Isis
Elle chanta Ă chaque fois les notes des vagues que composa le dieu de la mer
En sa présence naisse toute une cérémonie
La danse des Fourmis qui s’habillaient en robe de soie que coda l’araignée
De belles robes avec une traîne plumeuses de toute les couleurs que leurs dédia mes oiseaux aux cœur de cobra
Sans oublier la participation de l’orchestre de l’air diriger par le maestro « vent » qui me berça en suivant les danses de la queue de ma petite sirène que je nomme vie éolienne
Sissi
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-Combien d’êtres humains ignorent qu’ils n’ont d’humain que le nom ?
Henry Tena Gil