Aurais-je ! Bien fait amour de louer le pouvoir
De votre beauté, qui décore ce monde ?
Comme pour embellir votre chevelure blonde
J’y mettais des roses, là où l’amour pouvait se mouvoir ?
Ni mon unique inspiration, ni mon savoir,
Ne fure ici, harmonisé en prose amoureuse sans faconde,
Sur votre silhouette émouvante, où l’or fin abonde,
J’eus bien fait d’etre fidèle , à vos lèvres écloses à entrevoir.
Quand mon regard, se pose sur vos cheveux si reluisants et blonds,
entremêlées , élancés , et si longs,
Et de votre amour dont j’entendais votre complainte :
Puisque pour vous et de votre corps, dont j'ai eu un tel martyre,
Avec fougue et passions j’aurais bu l’amour sur vos lèvres saintes ?
Je serai mort cygne, ou je mourrais sans mot dire.
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