Je revois ton visage si doux,
Et puis s'en va le temps,
Desamour maladif :j'étais à bout,
Ambition tu m'a tué à bout portant.

Je ne savais point tous ça,
Je suis un écorché vif,
En équilibre instable comme ça,
Un seul est resté captif,

C'est moi-même,
O ! Bien-sûr sans fierté,
Et mon génome,
Se meurt peu à peu sans être athée.

J'ai grandi sur un champ de mines,
J'en ai pris plein la tronche.. /..
L'amour je l'imagine,
Tel un moineau sur une frêle branche.

Qi Qi attention je m'envole,
Pour des coins du globe en sagesse,
Un allé simple et on se frôle.
L'amour cela s'imagine de tendresse.

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mes recueils :
1
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2a2594e4cf.html

https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2-2a25a45cff.html
2
edilivre /La rapsodie/