En ces temps retranchés
Des additifs olfactifs
Les boas dorment nus
Dans les verrières spacieuses.
Je m'étais éventré
Par l'entrée de sévices
Qui donnait sur la lune
Éclairant mon aura.
L'ouïe demeure seule
Dans le garage à muses
Prête à ironiser
Sur les prêtres sensés.
Je m'étais disloqué
En pansant, Ã la porte
Mon cœur de méridien
Ouvert à tous les yeux.
Les pédalos passent sur l'Aa
En de vagues lames
Coupant les rires d'époux
À un cheveu près.
Je m'étais transpercé
Jusqu'aux vaines frémissantes
Qui me photographiaient
Dans une gangue inconnue.
Les belles files indigènes
Allongent des bras morts
Des laids, sots, littéraires
Rassis, au coin du feu.
Je m'étais aplati
Comme une crêpe, sans la crête
Contre un horodateur
D'une nuit sans histoire.
Au train où va Lison
Hors des lévitations
En ciseaux, là , je couds
Des maux à mes entrailles...
Hubix.
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bonjour à toutes et tous, je viens découvrir ce nouveau site, pour moi, en espérant pouvoir partager la passion de la poésie avec chacun(e) d'entre vous... Merci d'avance...