Où sont les rêves divins, l’amour florissant en ces lieux, Ton sourire enfantin parfumant mon cœur, chaste violette ? O Leila mes Lys sont morts. Tes parfums encensent la fête
Dans ton harem maraude une ode que je frôlai pour tes yeux Les fleurs du Grenadier porteront mon sang sur leur verte gaine Les ramiers du ravin chanteront la romance de mes peines.