Ô douce beauté angélique te voilà ,
Don divin tombé sur mon chemin endeuillé,
Ton diabolisme sectaire m'était caché,
Aujourd'hui nous somme qu'un, noyé dans la joie.
Jamais Nostradamus aurait prédit cela :
Que mon regard hasardeux t'aurais rencontré,
Marquant mes pensées pour toujours, tu m'as hanté.
Aujourd'hui ton spectre me hante avec ta voix.
Ô douce beauté diabolique, loin de tout
Tu m'écartes du monde en déclin, dans un trou
Blanc d'espoir. Dans notre navire nous somme Dieu.
Rien ne peut nous stopper, ni même la folie,
Peu importe nos chemins tu es mon envie.
Ô douce beauté damné, tu n'es plus aux cieux.
Vermouth