Quel combat de titan vous avez du livrer,
Afin de libérer votre fils Vincent,
De toutes ses souffrances qu'il devait endurer.
Fuir son existence,il le souhaitait ardemment,
Vous l'avez conduit dans son "paradis blanc",
Admirable maman.
Au cours de cette épreuve,toutes les sommités,
Donneuses de vieilles leçons,vous ont abandonné,
Se retranchant derrière une certaine éthique,
Silence assourdissant du "monde politique".
Seule,avec un médecin,vous n'avez pas trahi
Votre fil chéri.
Au terme d'un procès que vous souhaitiez assumer,
Vous espériez enfin que l'on puisse entamer
Une réforme judiciaire offrant aux victimes
Semblables à votre fils,la solution ultime,
Qui grâce à votre courage,deviendra un acquit.
Merci à vous,Marie.
:-D :-D

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[url=q )Avant 1938,je n'étais pas né-Alors évidemment je ne pouvais pas penser-Dés qu'aura cessé de battre,mon palpitant,je retournerai dans le néant,tout simplement !

L'histoire m'échappe mais les remerciements semblent venir
du coeur.
Henry

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Merci pour ce bel écrit retraçant le combat de Marie Humbert pour son fils Vincent

Le droit de mourir dans la dignité
C'est ce que tout être devrait avoir.

Grâce à lui, grâce à elle, peut être qu'avec le temps, nous aurons nous aussi ce droit.

Bel hommage à cette femme, qui a du combattre entre l'amour de son fils et son désir de le garder près d'elle, puis celui de le laisser partir en paix, afin d'abréger des souffrances et une vie insuportable.

Je m'associe à tes mots de tout coeur
Bisous
Ghis :-(

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https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

Je remercie Ghis qui indirectement a éclairé ma lenterne.
Comment n'ais-je pas fait le raprochement, c'était tellement évident. :hammer:

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J'ai été très touché,Ghislaine,à la lecture de ton message.Je constate que nous avons les mêmes convictions sur "l'abolition de la peine de vie".Il est bien évident que dans l'exercice de ta noble profession,tu soignes avec dévouement,corps et âmes de tes patients dans des conditions souvent bien difficiles.
Mais s'agissant de cas "extrèmes" comme Vincent,nous n'avons pas le droit,n'en déplaise à tous les dieux,de ne pas satisfaire leur ultime souhait. De tout coeur,je te dis bon courage pour la suite
de ton "sacerdoce". BIZ. Gui

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[url=q )Avant 1938,je n'étais pas né-Alors évidemment je ne pouvais pas penser-Dés qu'aura cessé de battre,mon palpitant,je retournerai dans le néant,tout simplement !

Une mère qui par amour pour son fils a su faire le choix de le délivrer..

Une très dur décision à prendre pour une maman mais je lui tire mon chapeau d'avoir eu le courage d'aider son fils.

Bravo pour ce bel écrit en son hommage.

Bisous