Le vent est arrivé, il a posé
des perles, celles d'une dame.
Parfumées de saveurs osées,
Elles sont devenues la femme.

Sur la page, elles ont embelli .
Étranges fleurettes osant se mêler
En rimes inconnues de l'oubli.
Un rayon de soleil est venu frôler

Illuminant la feuille mise en calice.
Au creux de l’écrin est née divine
déesse, ton petit nom en un délice
est devenu poème ou je te devine.

Beauté cachée d'une passion si belle
Ma plume a muté pour devenir archet.
Depuis sur tes cordes, ma douce elle.
je joue ces partitions sans autre cachet.

Que tes baisers en récompense d'amour
Ils sont en mon cœur mon seul bonheur.
Pour garder un peu de toi encore un jour.
Vivant la nuit pour jouir de cet honneur.

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