Cap posé en évidence sur la mer qui rutile
Tu nais de l'alchimie du soleil subtil
Plages de sable fin du beau pays d'oc
Le clinquant de ton port parfois choque.
Ils viennent de toutes parts
À l'abri des chastes regards
Vivre libres en habits d' eve
Rejoindre un peu leurs rêves.
Quand on ôte nos costumes
On n' a pas peur du rhume
On se retrouve tous pareils
Dans la nudité notre enfant veille.
Car enfin sommes nous conçus
Affublés d'un par-dessus
Ici l' air souffle le corps
La mer l'épouse en accord.
Délice de sensations magiques
L'eau rejoint la matière primaire
Souvenir de l'harmonie millenaire
Se rhabiller devient tragique.
Bien sûr au cap d'agde et ailleurs
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Amicalement Alanna