Quand les mots n’auront plus de prix ! Quand les mots seront futiles et incompris. Quand l’amour perdra sa luminescence Et les cœurs seront vils, sans innocence !
Quand les fleurs ne seront plus belles Quand s’abiment consonnes et voyelles Et se ternissent nos cœurs et nos poèmes La tempête frappe alors nos âmes bohèmes.
Et nous ferons alors semblant de rêver Ô rage ! Tout est sombre à crever.